samedi 9 octobre 2010

La sorcière (dont on taira le nom) aperçue dans les environs de Merlieux


Le prince Victor fait son bout de chemin, on l'a croisé récemment à Merlieux, en bien mauvaise posture : la sorcière (dont on taira le nom) l'emportait sur son balai au moment où le dragon à trois têtes de la grotte des cinq portes soufflait son château (dont on taira le nom).


L'auteur (dont on taira le nom)...


... l'auteur a forcé des élèves de CE2 à imaginer la fin de son histoire, preuve d'un manque d'imagination notoire et d'une attaque de flemmardise aigüe.
Il est vrai qu'elle (pardon, il, enfin l'auteur dont on taira le nom) était aidé(e) par un livre-CD comportant un jeu sonore XXL adapté pour toutes oreilles et tous cerveaux : l'imagination des enfants a bien coulé.
Mais qu'est-il arrivé à la sorcière dont on n'a pas prononcé le nom ?
Quelle sorcière ? Celle-ci, voyons :



Ah ! non ! Pardon ! celle-là :


Seul l'avenir nous le dira.
L'auteur (dont on taira le nom, vraiment) a poursuivi son forfait dans une classe de CM2. Les élèves ont dû faire des avions en papier et, pire, écrire des poésies, et, zut alors ! les recopier sur lesdits avions-poèmes. Lesquels ont été lancés dans les classes voisines, en poussant des cris dignes de la sorcière (dont on taira toujours le nom).
L'école (dont on taira le nom) n'a pas porté plainte, merci.
Un merci particulier aux deux institutrices qui ont reçu la personne appelée auteur, qui s'est bien amusée.

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